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Métaphores…

1991 – 2021

Depuis trente ans, nous nous imprégnons de votre ADN. Depuis trente ans, nous recherchons ce qui vous rend singuliers. Depuis trente ans, nous apportons un éclairage différent de votre savoir-faire. Depuis trente ans, nous cherchons pour vous des mots qui s’aiment, des images qui voyagent. Depuis trente ans, nous aimons vous trouver des disciples dans votre quête de l’absolu. Depuis trente ans, nous vous aidons à sortir des sentiers battus. Trente année de texte et d’image, pour le meilleur et pour l’avenir

Métaphores

 

Livres…

Polyval –  Le social au cœur de l’économie, Editions Métaphores, 2021

L’aventure qui est contée ici est celle d’une autre idée du travail. Du travail qui libère, du travail qui affranchit, du travail qui rassemble.Du fléau de la tuberculose aux multiples succès d’une entreprise orientée vers l’économie sociale, plus de deux siècles ont façonné le quotidien de celles et ceux que la maladie a frappés. Polyval naît au carrefour de deux mondes, héritière de ce long temps de paix qui s’ébauche avec « Les trente glorieuses » et se poursuit avec une nouvelle idée du libéralisme et des progrès sociaux.Il est démontré au long de ces pages, que l’être humain sait farouchement défendre sa liberté, en particulier celle qui consiste à demeurer digne et autonome devant l’adversité. La Suisse est une terre de partage où les plus démunis sont entendus et souvent défendus. Le canton de Vaud en est un digne exemple. Oui, l’économie sait être sociale et les rapports sociaux le lui rendent bien.

 


Paul-Edouard Piguet Un homme, une fondation pour la Vallée de Joux, Editions Attinger, 2020 / REF

Dans les histoires, le premier mérite est d’être vivant.

Dans la marge de ce récit qui traite tout de même de la vie d’un philanthrope, nous devons soulever tous les événements qui ont édifié cette fondation. Nous devons en commenter le nombre, la variété et souvent, leur désopilante nature. Nous devons  en relayer la perception des protagonistes souvent sidérés, nous efforcer de ne pas nous en tenir aux faits, mais tenter de comprendre les mécanismes humains qui ont conduit au but final. C’est à dire la création d’une institution célébrée par une région entière et unanime, applaudie par une kyrielle de bénéficiaires reconnaissants. Les plus grandes qualités de l’être humain ne sauraient s’exprimer sans spontanéité. Si l’on mesurait la générosité de Paul-Edouard à l’aune de la fortune consacrée, cette qualité serait érigée en sacerdoce ! La simplicité de sa vie rime étrangement avec son obsession de la qualité, la répulsion que provoque chez lui la médiocrité. Si les choses ne se passent pas EXACTEMENT comme il en a décidé lui, il se cabre et s’enferre dans un comportement qui déroute ses interlocuteurs. Sa vie entière sera placée dans la quête d’individus dont la souplesse sera inversement proportionnelle à sa rigidité ! Mais quel homme, quel chevalier sans peur, que naïf guerrier dont nous contons le destin ! Mais alors à quoi bon lui chercher des poux, pourquoi s’évertuer à exhumer ses travers ? Alors que jusque-là, la simple évocation de sa fondation provoquait l’admiration ? Une saga ne saurait être sans les ombres que projettent la lumière. Celle-ci est belle parce qu’authentique et sans tabous, c’était la volonté des sages qui veillent sur elle désormais.

Dans une histoire, on a quelques dizaines de pages pour décider si le principal mérite est bien d’être vivant. C’est bien vivant que Paul-Edouard a constitué ce qui mérite d’être célébré ici.


Thierry Lang Entre un sourire et une larme, Editions Attinger, 2019 / REF

Contrairement à une idée reçue, se prêter au jeu de la biographie est un acte d’une grande humilité. Il faut, en vrac, revenir sur (toutes) les étapes d’une vie sans qu’aucune d’elles ne soit négociable, consacrer du temps à un individu – aussi précis et bienveillant soit-il – qui cherchera inlassablement à débusquer le fait, l’anecdote, la péripétie qui donnera du relief au récit. Il faut prendre le risque d’exposer sa vie, non comme un accomplissement, mais comme un parcours implicite.

Dans la grande armoire où l’on a plus ou moins soigneusement plié les gens, les succès, les chagrins, on essaye de mettre la main sur LES choses qu’on ne doit pas oublier. A la longue, certaine recherches sont vaines et on décide d’attraper d’autres choses au hasard. Et l’on tombe sur des perles. Et l’on tombe sur la vraie vie, celle qui nous a fait et nous porte encore. Cette vie qui, comme un fleuve, avance, lentement, large, irriguant nos jours, emportant avec lui nos souvenirs.

Voilà ce que Thierry a été d’accord de faire. D’abord un brin timide puis franchement passionné par l’exercice, il n’a pas hésité à tout dire. Des choses sorties de l’armoire, nous avons rempli un navire et nous sommes embarqués sur le fleuve de sa vie.

Ce voyage aurait été différent si le passager du bateau n’avait pas été musicien. Il était si petit, Thierry, si fragile et fort à la fois, si doux et volontaire, si joyeux et profond, si avide et fidèle en même temps. Soixante ans ne l’ont pas changé. Bach et Chopin, comme d’autres romantiques, ont forgé son cœur, le swing, Bill Evans, Keith et Miles l’ont mis au tempo. Son génie de la mélodie l’a mis en harmonie.

Il nous conduit ici vers la mer, vers les promesses de sa troisième vie, bâtie sur les valeurs des deux premières, une vie de création, une vie de voyages, une vie où ne manqueront ni amis ni musique.

Pierre Dominique Chardonnens


Une Fête d’avance, Editions Attinger, 2019 / REF

Une fête, on sait ce qu’elle est. Tapie dans l’antre des magiciens, elle attend son heure, prête et pimpante.
Puis c’est le jour J. L’explosion, le festival étincelant et bruyant où, sur la scène s’embrasent décors, acteurs et figurants. Pour quelques minutes, quelques heures ou quelques jours, la Fête sera le quotidien de milliers de gens que la tenue de la Fête vient en somme libérer, comme un exutoire. Tôt ou tard, la Fête se termine, avec son cortège de souvenirs bariolés figés sur papier glacé. Plus de 5000 figurants, ce sont autant de familles, d’amis, de connaissances irradiés par l’enthousiasme et souvent la passion. Par un don presque sacrificiel de leur temps, ténors et ballerines d’un jour, menuisiers, couturières, courtepointières, peintres et autres écuyers vont défier une dizaine de saisons en oeuvrant pour la beauté de «leur» Fête.
Ce sont eux, justement, à qui nous souhaitons dédier un ouvrage. Mains au travail, scies, lambeaux de velours, clairs obscurs, regards… A travers les âges et un chapitre historique, nous souhaitons rendre hommage à celles et ceux qui, en Lavaux, par monts et par Vaud, se réjouissent de servir les dieux de la Fête. Là où les coutumes et le savoir-faire se confondent, là où se célèbrent la fierté d’en être et le bonheur de s’y montrer. Une véritable enquête en somme, sur fond d’énigmes en noir et blanc que soulignera un texte amoureux. La vénérable Confrérie ne célèbre-t-elle pas les vignerons, les tâcherons ?
Ne donne-t-elle pas rendez-vous à ses pairs laborieux sous les feux de la rampe ? Lorsqu’un beau livre sortira, quelques temps après que se soient tues les dernières voix de la Fête, il ne restera que le strass lumineux de la scène, jonchée d’artistes flamboyants.
C’est cette Fête devenir que nous avons captée, humée, sentie. C’est ce travail de l’ombre que nous voulions célébrer. Un projet qui a trouvé son public, amical, familial, d’esthètes aussi, de curieux, de Suisse et d’ailleurs.

Pierre Dominique Chardonnens


Jean Troillet, Une vie à 8000 mètres, Guérin, 2016 / REF

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Il y a un monde entre les Alpes et l’Himalaya. Un monde où les heures deviennent des jours, les mètres des kilomètres et les voies, des expéditions. Un monde aussi, entre le grimpeur qui enchaîne les 7c à moitié nu et le summiter bardé de sponsors… Un monde dont les frontières ne sont pas si imperméables et que franchissent certains à des moments-clés de leur existence. Ne reste alors de commun , aux équilibristes et aux aventuriers, que le ciel et ses caprices. Jean Troillet appartient à ces conquérants là, s’évertuant à expliquer que c’est bien plus beau lorsque c’est inutile. De sa turbulente jeunesse, Jean Troillet a conservé la fraîcheur d’un regard qu’il promène presque naïvement sur les êtres, les choses et les événements de sa vie.

«Cet Everest-là vaut dix 8000, Loretan est un génie !» s’exclamera Reinhold Messner au lendemain de l’ascension record du suisse en 1986… C’était son sixième 8000.
Le troisième en compagnie de Jean Troillet avec qui il bouclera sa quête des quatorze que compte la planète. Loretan-Troillet… Voilà une paire formée dans la mutualité des souffrances, des dangers et de la liberté d’être aventurier. Leur carrière respective aurait été différente l’un sans l’autre. Jean Troillet fut un peu à l’ombre de ce lutin surdoué dont il supportait le caractère parfois complexe. Puis les chemins s’écartent un peu, d’horizons plus funestes en nouvelles rencontres, une femme, des enfants – à un âge où on les voit plutôt s’envoler – un accident. L’aventure, c’est la vie dit-il…

Le livre est une somme à mettre à l’actif de la force sous ses formes les plus diverses et subtiles, de la modestie et de la camaraderie.

Pierre Dominique Chardonnens


Vaudoise par amour, Favre, 2015 / REF

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Vaudoise par amour, chronique d’une renaissance

La dernière rénovation complète de la «Vaudoise» tient d’une authentique saga. C’est ce que veut démontrer l’ouvrage consacré à cette renaissance sous le titre «Vaudoise par Amour».

Construite en 1932 près de Meillerie, la «Vaudoise» est un monument historique flottant notoire du Canton de Vaud. Acquise en 1948 par la Confrérie des Pirates d’Ouchy, elle poursuit une carrière de plaisance en baladant des générations d’amoureux du lac et de passionnés de vieux gréements.
Soleil, pluie, gel et grêle parfois, associés au temps qui passe malmènent l’antique structure de bois. Tous les trente ans environ, celle-ci doit être rénovée entièrement. Menée de mains de maître et en un temps record, la rénovation relatée dans ce livre richement illustré témoigne du capital sympathie considérable dont bénéficie la «Vaudoise».


L’immortalité, un sujet d’avenir, Favre, 2014 / REF

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Les éditeurs du livre ont réuni autour de l’énigme de l’immortalité une vingtaine d’auteurs venus de différents horizons. Qu’ils soient professeur de médecine ou de littérature, dessinateur, biologiste, psychiatre, avocat, architecte, mathématicien, ils proposent, chacun à leur manière, en sortant parfois de leur réalité professionnelle, une réflexion en lien avec ce thème vaste, incertain et intemporel. Avec la participation de nombreux auteurs dont René de Obaldia et Elizabeth Blackburn.


Les plus belles montagnes suisses, Belvédère, 2014 / REF

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Bien que n’accueillant qu’une dixième de leur étendue, la Suisse offre aux Alpes plus de la moitié de son territoire et abrite la moitié des géants de plus de 4000 mètres, que compte la chaîne. Chacun des sommets a son histoire, souvent perdue dans de très anciens grimoires, jusqu’au jour où quelque fou décide de l’escalader. Leur nature, en nous rapprochant de leur mystère, célèbre leur beauté universelle.
Le propos de l’ouvrage est résolument empreint du respect qu’inspire la montagne. Des images à couper le souffle, souvent inédites à travers le regard passionné d’un homme qui a dédié sa vie à la montagne.

Pierre Dominique Chardonnens


Quand les machines ont une âme, Bobst, une famille dans l’industrie, 2013 / REF

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L’aventure industrielle de la dynastie Bobst eût-elle existé au bord du Léman si Joseph Bobst, son fondateur, n’avait pas vécu un petit «fait divers» singulier: un jour de 1885, alors qu’il retrouve des camarades alémaniques émigrés, «par un hasard extraordinaire, il rencontre et tombe même amoureux de Marie, née comme lui à Balsthal»! Comme le jeune homme nostalgique de son coin de pays, la jeune Soleuroise était venue apprendre le français à Lausanne. C’est dans cette ville qu’ils choisissent de fonder une famille et…l’entreprise dont le nom a fait le tour du monde. Cette histoire apparaît dans un livre édité en 2013: Quand les machines ont une âme.
©Jean-Marc Corset – 24 heures


Jean Troillet, Un homme : des 8000,  Arthaud, 2004 / REF

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Guide de montagne, Jean Troillet s’est spécialisé dans l’ascension des 8000. A son actif, huit sommets conquis sur les quatorze de notre planète, atteints en style alpin et sans aucun apport d’oxygène. En 1986, il a gravi l’Everest : il détient le record de vitesse de l’ascension, en quarante-trois heures aller-retour. En 1997, il était le premier homme à descendre la face nord du toit du monde en snowboard. Ses 8000 : K2, Dhaulagiri, Everest, Cho Oyu, Shisha Pangma, Lhotse, Kangchenjunga, Makalu.
Préparation, marche d’approche, séjour au camp de base, assaut final et retour… Au fil des étapes essentielles qui jalonnent une expédition, Pierre-Dominique Chardonnens nous fait revivre ce que furent les plus beaux moments, les plus douloureux aussi, de ces ascensions qui ont amené Jean Troillet au sommet de nombreux 8000, ou parfois l’ont laissé – sage et obéissant aux lois de la nature – tout près du but, sans l’atteindre. Mais c’est également toute la philosophie de cet  » art  » qu’est l’alpinisme que l’auteur nous fait appréhender.
En mai 2005, à 57 ans, il a tenté l’ascension du Nanga Parbat (8125 mètres) au Pakistan.


Dictionnaire des médias numériques, SwissMedia, 2002 / REF

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